FOLAMOUR

Depuis maintenant une décennie, Folamour cumule plus de 600 dates partout dans le Monde.

L’expérience et la sensibilité musicale de Folamour sont plurielles et abouties. Après avoir touché à la batterie, à la basse, à la guitare et aux percussions, il travaille avec l’Opéra national de Lyon et collabore sur des projets allant de la house au jazz.

Par conséquent, ses morceaux sont toujours marqués par une musicalité riche, empreinte de romantisme, de poésie et d’émotions. Fan de musique classique, de funk et de disco, Folamour apporte à la musique une patte particulière. Après plusieurs EPs, il décide en 2017 de proposer son premier album, imaginé et composé autour de la notion d’équilibre, “l’umami”. Un premier opus qui aura un effet retentissant et l’inscrira définitivement dans les artistes à suivre. Il revient en 2019 avec un second album « Ordinary Drugs », un nouveau concept album, écrit comme une histoire dont chaque chanson évoquerait une clef vers le bonheur. L’année 2019 marquera aussi un tournant dans sa carrière avec sa boiler room au festival Fly Open Air en Ecosse qui cumule plus de 6 millions de vues à ce jour.

Deux années plus tard Folamour sort l’album “The Journey”, un récit autobiographique relatant des années passées entre aéroports et scènes, Londres, la France et le reste du monde, entre foules et solitudes, entre hauts et bas. Un album composé entre métropoles et no man’s land, inspiré de moments marquants qui ont fortement surpris, touché l’artiste. Pour exprimer toutes ces émotions, Folamour met de côté samples et ordinateurs pour se concentrer sur l’écriture de textes, l’enregistrement de cordes et de cuivres, de batterie, de voix, la sienne sur plusieurs chansons, afin d’être au plus près de l’instant. Aucune limite de format, ni de genre, la liberté totale de choisir l’outil adapté au tableau. Cet album est la somme de hasard et de rencontres, un rite initiatique, aussi bien sur la forme que sur le fond, le conte d’une vie avec tout ce qu’elle peut contenir de joies et d’épreuves, aussi bien dans son écriture et sa production que dans son message, «The Journey» mélange tristesse contemporaine, isolement des artistes, mais aussi émerveillement des plaisirs simples de la vie et des découvertes qu’elle apporte avec elle, il n’est ni un récit joyeux, ni un conte triste et désabusé, il est la somme de tout ça et du reste aussi.

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